Wednesday, February 24, 2021

ÉDITION DU 24 FÉVRIER 2021 / BULLETIN DE LA CSEM

ASSEMBLÉE PUBLIQUE RÉUSSIE : La CSEM a tenu le 10 février une assemblée publique virtuelle fort fructueuse dans le but de présenter aux parties intéressées et au grand public la mise en œuvre de son nouveau Plan de transformation. M. Joe Ortona, président de la CSEM, a animé cette assemblée, alors que M. Russell Copeman, directeur général par intérim, y est allé d’un exposé détaillé sur les objectifs et la mise en œuvre du Plan de transformation.  


Dans son allocution d’ouverture, M. Ortona a rappelé aux intéressés que le Plan de transformation a été adopté alors que le conseil des commissaires était sous tutelle. « Tel que l’a déjà mentionné le conseil, ce plan comporte un bon nombre d’éléments pertinents que nous souhaitons mettre de l’avant. Cependant, nous sommes d’avis qu’il est nécessaire d’améliorer les aspects qui ont trait à la gouvernance », a-t-il déclaré. Il a expliqué que le Plan de transformation limite à trois le nombre de comités statutaires du conseil, à savoir : exécutif, ressources humaines et vérification. Il a souligné que, dans un premier temps, le conseil entend ajouter deux autres comités : finances et éducation. M. Copeman a indiqué que le Plan de transformation adopté par l’administratrice de la tutelle prévoit l’embauche progressive de 25 à 30 personnes au cours des trois prochaines années, principalement au sein du Service des ressources matérielles et du Service des technologies de l’information. Les coûts de mise en œuvre ont été estimés par l’administratrice à 3 millions de dollars supplémentaires par année, à terme, et il est à prévoir que des économies à long terme seront réalisées étant donné l’efficacité accrue de la structure. « Or, il s’agit là de fonds de fonctionnement dont la CSEM ne dispose pas à l’heure actuelle », de dire M. Copeman. « L’une des avenues envisagées serait de tenter d’obtenir davantage de financement de la part du gouvernement et d’explorer des mesures de réduction des coûts sur le plan structurel, ce qui aurait pour effet de rehausser l’efficacité des services administratifs sans réduire les services aux élèves. »


Pour consulter la présentation PowerPoint de M. Copeman et visionner la vidéo, visitez le http://www.emsbpressreleases.com/2021/02/emsb-holds-virtual-town-hall-meeting-to.html.



POUR EN FINIR AVEC LA PRÉCARITÉ MENSTRUELLE : L’école secondaire John F. Kennedy (JFK) de Saint-Michel et l’organisme de bienfaisance Monthly Dignity ont créé un partenariat d’envergure. Ensemble, ils s’attaqueront à la précarité menstruelle (manque d’accès aux produits d’hygiène menstruelle) au sein de leur école et dans d’autres écoles de la CSEM. Cette campagne et ce partenariat sont l’initiative de Rocco Speranza, animateur de vie spirituelle et d’engagement communautaire, sitôt appuyée et soutenue par Chloé Pronovost-Morgan, cofondatrice de Monthly Dignity. Otis Delaney et Vito Campbell-Guerriero, membres de la direction de JFK, ont accueilli cette initiative à bras ouverts, ayant constaté à quel point le manque de produits d’hygiène menstruelle touche les élèves de JFK. L’école est consciente que nombre d’élèves et leurs familles n’ont pas les moyens d’acheter des produits d’hygiène menstruelle et que, par conséquent, des élèves s’absentent souvent pour cette raison. Grâce à ce partenariat, les élèves recevront les produits d’hygiène dont elles ont besoin de sorte qu’elles ne se sentent pas gênées ou mal à l’aise parce qu’elles ne sont pas en mesure de se procurer de tels produits et, surtout, pour que cet enjeu ne soit plus une entrave à la fréquentation scolaire.  


Au sens large, la précarité menstruelle réfère aux obstacles financiers, éducatifs, culturels et sociaux qui gênent l'accès à une éducation et des produits d’hygiène menstruelle adéquats. Cette initiative comportera deux volets : dans un premier temps un volet palliatif pour la distribution de produits d’hygiène menstruelle gratuits à celles qui n’ont pas les ressources financières pour s’en procurer, puis le recours à des moyens discursifs pour déstigmatiser les menstruations grâce à un dialogue ouvert et instructif. La honte et la stigmatisation constituent également un facteur important de l'absentéisme scolaire. L’organisme Monthly Dignity s'est engagé à faire un premier don de 15 000 produits d'hygiène menstruelle. À titre de partenaire, l’école secondaire JFK assurera la distribution des produits d'hygiène menstruelle au sein de son propre établissement ainsi que dans d'autres écoles de la CSEM, selon les besoins (compte tenu du nombre limité de produits), en priorisant les écoles fréquentées par une clientèle financièrement défavorisée et les élèves qui n’ont pas les moyens d'acheter des produits d'hygiène menstruelle. L’école JFK tiendra un registre de la distribution des produits dans l'espoir de présenter les données aux élus municipaux. Ils souhaitent ainsi mettre en lumière l'importance et les effets dévastateurs de cette problématique - et réclamer du gouvernement une mesure inspirée de la nouvelle législation écossaise qui garantit l'accès aux produits d’hygiène menstruelle à quiconque en a besoin. L'objectif vise à soutenir celles qui en ont besoin, de sorte que l'accès à des produits d'hygiène menstruelle adéquats soit un droit et non un privilège. L’école John F. Kennedy a déjà contacté plusieurs écoles, et la distribution a commencé.  

MOIS DE LA NUTRITION : Mars est le mois de la nutrition à la CSEM. Nous vous invitons à consulter le site Web de la CSEM.

MOIS DE L’HISTOIRE DES NOIRS : Dans la foulée des nombreux actes de violence raciale qui ont marqué 2020, les activités organisées en février dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs à la CSEM ont revêtu une importance encore plus grande. Lors d’une réunion du conseil des commissaires tenue en décembre 2020, la CSEM a adopté une résolution dans le but de reconnaître formellement le Mois de l’histoire des Noirs. Bien que chaque année les écoles soulignent le Mois de l’histoire des Noirs, le président de la CSEM, Joe Ortona, estime que cette année fut particulièrement importante. « Les nombreux événements survenus nous ont amenés à réfléchir sérieusement aux enjeux raciaux, a-t-il déclaré. Même si bon nombre d’événements parmi les plus largement médiatisés sont survenus aux États-Unis, force est de constater que nous faisons face nous aussi à des difficultés. Ces tragédies ont soulevé l’indignation partout dans le monde. Nous assistons à une mobilisation pour dénoncer l’injustice raciale, et nous avons voulu démontrer notre engagement en votant et en adoptant une résolution, ce que nous avons fait à l’unanimité. »


PRÉSENTATIONS : En raison de la COVID-19, la présence d’invités spéciaux dans les écoles était interdite. Les élèves ont donc eu droit à des présentations virtuelles de la part de Youth Stars, Youth Leaders of Tomorrow, Fatima Wilson et son Steelpan Band, Egbert Gaye, Black Theatre Workshop, de même que des activités spéciales dirigées par les animateurs de vie spirituelle et d’engagement communautaire de la CSEM, notamment une chasse au trésor, un balado, la citation du jour et un musée portable. Pour la toute première fois, l’équipe du Service d’animation de vie spirituelle et d’engagement communautaire (SAVSEC) de la commission scolaire a préparé une présentation portant sur le Mois de l’histoire des Noirs que les animateurs pourront utiliser. La version enregistrée sera mise à la disposition des enseignants tout au long de l’année. Cette initiative avait pour but de brosser un portrait du Mois de l’histoire des Noirs et se voulait une amorce au dialogue sur l’histoire des Noirs. Les élèves se sont familiarisés avec des histoires et des vidéos sur les Noirs canadiens, sous l’angle de leurs forces de caractère, et ont participé à des activités qui suscitent une réflexion sur l’identité et la représentation.


DOCTEURE WILLIAMS : Afin d’éclairer sa programmation, l’équipe du SAVSEC a invité Dre Dorothy Williams, historienne montréalaise titulaire d’un doctorat et spécialiste de l’histoire de la communauté noire à Montréal et plus largement au Canada, à s’entretenir avec eux en janvier. Le Service des bibliothèques scolaires de la CSEM est également heureux d’annoncer la mise sur pied d’une bibliothèque virtuelle renfermant des collections dédiées à l’histoire des Noirs et provenant de l’Office national du film du Canada, d’Idéllo, de CBC et de Curio, TumbleBooks et Sora de Radio-Canada. Ces collections en ligne seront présentées au personnel de bibliothèque de chacune de nos écoles ainsi qu’aux conseillers pédagogiques de la commission scolaire.


Nous vous invitons à consulter l’intégral du communiqué : https://www.emsb.qc.ca/csem/nouvelles/la-csem-entrevoit-une-annee-charniere-en-2021-pour-le-mois-de-lhistoire-des-noirs 


PUBLICATION D’UN LIVRE POUR UNE ENSEIGNANTE SUPPLÉANTE : Latoya A. Belfon, enseignante suppléante à la CSEM et présentement en congé de maternité, a réalisé un rêve qu’elle caressait depuis 20 ans, soit celui de devenir auteure de livres pour enfants, juste à temps pour souligner le Mois de l’histoire des Noirs. Ce livre célèbre ses origines afro-antillaises et relate l’aventure d’une grand-mère vers un nouveau pays ainsi que l’amour qu’elle porte à sa famille. Il y est question de patrimoine culturel, de traditions familiales et du développement d’une forte estime de soi. Une maman partage l’histoire de sa grand-mère bien-aimée avec sa fillette. Elle raconte le périple de sa grand-mère partie de sa petite île natale des Caraïbes vers le Canada, pays des grands rêves. Ce beau récit poétique aborde les thèmes de l'amour, de l'appartenance et du patrimoine, ce qui nous rappelle l'importance de connaître notre histoire et nos ancêtres. Nous vous invitons à visiter son site Web au www.labworkspublishing.com ou à composer le 438 274 1192.


ÉCOLE VIRTUELLE : Avec 545 élèves inscrits à l’école virtuelle de la Commission scolaire English-Montréal (CSEM), la directrice Christy Tannous raconte que tout se passe très bien. L’école virtuelle continuera peut-être même de jouer un rôle important après la pandémie.  L’école virtuelle de la CSEM est une expérience d’enseignement et d’apprentissage innovatrice qui se déroule hors des établissements scolaires traditionnels. Elle continue d’évoluer sous la supervision du directeur adjoint Réal Heppelle et de Mme Tannous. Éducatrice bilingue, elle enseignait auparavant le français et a été directrice adjointe à l’école primaire Pierre-de-Coubertin à Saint-Léonard et directrice adjointe à l’Académie Royal West à Montréal-Ouest. L’école virtuelle de la CSEM compte en ce moment 310 élèves au primaire, de la prématernelle à la sixième année, et 235 au secondaire. Elle offre les mêmes programmes de français que ceux habituellement offerts dans les écoles. Les élèves du primaire qui sont normalement en immersion française et qui ont été transférés à l’école virtuelle reçoivent un enseignement et des travaux scolaires de la même qualité. En plus des cours réguliers de français optionnels, les élèves du secondaire peuvent continuer de suivre leurs cours de niveau avancé dans des matières comme la chimie, la physique et les mathématiques. Nous vous invitons à consulter l’intégral de l’article de Kristin McNeill : https://www.emsb.qc.ca/csem/nouvelles/lecole-virtuelle-de-la-csem-comble-une-importante-lacune-pour-les-eleves-qui-doivent-rester-a-la-maison.

 

ÉCOLE BRANCHÉE : Il existe un nouvel outil pour soutenir les enfants dans leurs apprentissages en ligne. Vous pouvez télécharger gratuitement un numéro spécial du magazine École branchée : Le bien-être, un levier pour l’apprentissage… même à distance. On y aborde le rôle des parents dans l’apprentissage à distance, la gestion du stress et des émotions, l’encadrement du temps consacré aux écrans et bien plus encore. Téléchargez gratuitement la version française (ecolebranchee.com/famille) ou encore la version anglaise (ecolebranchee.com/family).


DÉFENSEURS DE LA JUSTICE : À la pandémie et aux mesures de confinement à l’échelle mondiale qui ont lourdement pesé sur l’année, se sont conjuguées de troublantes manifestations d’intolérance. Du mouvement Black Lives Matter à la persécution continue de groupes minoritaires en Chine et en Arménie, le personnel enseignant a de nombreux enjeux difficiles à aborder. Éduquer les élèves sur l’intolérance contemporaine et historique comme celle de l’Holocauste a toujours été une priorité pour le personnel enseignant de la CSEM. Pendant 13 ans, le programme « Riva and Thomas O. Hecht Scholarship : Teaching of the Holocaust for Educators » a permis à des professionnels de l’enseignement de se rendre en Israël et à Washington pour parfaire leurs connaissances sur le génocide et la façon de l’enseigner. La centaine d’éducateurs qui ont bénéficié de ce programme transformateur continuent de partager leurs connaissances par l’entremise de projets innovateurs.

Bien que le programme n’offre plus de bourses, le Musée Holocauste Montréal (MHM) appuie les enseignants en mettant à leur disposition des ressources pédagogiques adaptées au niveau d’étude des élèves. Elles traitent de façon responsabilisante et respectueuse de questions difficiles comme le génocide et la discrimination. Des ateliers sont offerts en classe, en ligne, ou selon une combinaison des deux. Grâce à ces programmes, « les élèves apprennent l’histoire de l’Holocauste en écoutant le témoignage de survivants, et en découvrant des objets qui leur appartenaient ». Les sujets varient en fonction de l’âge et la maturité des élèves, et peuvent aller de discussions à propos des droits de la personne ou de récits personnels jusqu’à l’étude de l’évolution de l’intolérance. La CSEM a pris des nouvelles de quelques récipiendaires de bourse  Hecht. Pour lire l’intégral de l’article : https://www.emsb.qc.ca/csem/nouvelles/former-la-prochaine-generation-de-defenseurs-de-la-justice.

COMPTE RENDU DE L’ÉCOLE WESTMOUNT PARK : Les chargés de projets à la CSEM se disent optimistes que les travaux de réfection majeurs entrepris il y a plus d’un an à l’école primaire Westmount Park seront achevés à temps pour la rentrée scolaire 2021-2022. À l’heure actuelle, la CSEM étudie trois scénarios : 1) les élèves et le personnel, présentement hébergés dans l’ancienne école St. John Bosco à Ville-Émard et à l’Académie internationale Marymount à NDG, réintègrent l’établissement dès la rentrée scolaire; 2) les élèves et le personnel réintègrent l’établissement et l’entrepreneur termine les travaux en soirée et la fin de semaine; 3) le retour des élèves et du personnel est reporté plus tard en 2021-2022 et ces derniers demeurent dans les installations de Ville-Émard et de Marymount, toujours disponibles. Bien que la pandémie de COVID-19 ait causé certains retards, les travaux continuent de progresser à un bon rythme. Pour lire l’intégral du communiqué : https://www.emsb.qc.ca/csem/nouvelles/la-csem-se-prepare-en-vue-de-la-reouverture-de-lecole-primaire-westmount-park.


PORTES OUVERTES : Lorsque la COVID-19 a forcé les éducateurs des quatre coins du monde à repenser leur façon d’enseigner et d’interagir avec les élèves, la CSEM a tôt fait de réaliser que l’impact de la pandémie n’allait pas se limiter aux élèves présentement inscrits dans le système, mais aussi aux futurs élèves et à leurs parents. Et, à quelques mois seulement des inscriptions à la maternelle et au secondaire, la CSEM se devait de trouver une solution rapidement. Devant la difficile tâche de reproduire virtuellement pour parents et élèves l’environnement propre à chacune des écoles, les membres de la direction et du personnel dévoués ont cherché à mettre leur école en valeur, à leur manière. Ainsi, quelques établissements ont préparé de beaux témoignages vidéo en faisant appel à des élèves actuels et des anciens. D’autres ont proposé une visite virtuelle de leur école, tandis que certaines ont opté pour une vue aérienne de leur établissement du haut des nuages. Pour sa part, l’école primaire Gerald McShane est allée jusqu’à équiper d’une caméra GoPro un élève du programme concentration sport afin de permettre aux futurs élèves de l’accompagner partout dans l’école sur une distance d’un kilomètre. Or, les portes ouvertes les plus dynamiques et interactives sont peut-être celles de trois écoles secondaires et huit écoles primaires qui se sont invitées dans les cuisines et les salons des familles montréalaises dans le but de leur faire découvrir en temps réel le caractère accueillant de leur établissement.


Tirant parti de la technologie et des médias sociaux, ces écoles ont animé en direct un talk show version CSEM où, pendant une heure, faute de portes ouvertes en personne, les parents ont pu prendre connaissance des atouts de leur future école. Production en direct oblige, il y a eu, bien entendu, des gaffes de tournage (bloopers), et même que certaines ont été volontairement ajoutées, histoire de rendre l’événement encore plus amusant. Et que dire des questions! Il suffisait d'écrire un commentaire sur Facebook ou YouTube pour obtenir, en temps réel, une réponse de la part d’une personne compétente. Élèves, parents, enseignants ou administrateurs, la communauté de chacune des écoles s’est mobilisée pour montrer leur établissement sous son meilleur jour, malgré la pandémie. Pour visiter l’une des portes ouvertes virtuelles – Académie LaurenHill, école secondaire Westmount, Académie internationale Marymount, école primaire Merton, Académie Leonardo Da Vinci, école primaire Willingdon, école primaire Gardenview, école primaire Edinburgh, école primaire Pierre Elliott Trudeau, école primaire Dunrae Gardens et école primaire Carlyle –, visitez le https://www.youtube.com/c/EnglishMTL/videos.


DANSE AUTOCHTONE : Les élèves de 3e et 4e année de l’école Royal Vale à NDG ont eu droit à un atelier virtuel de danse autochtone animé par Barbara Diabo, celle qu’on appelle Leaf Maker dans sa communauté de Kahnawake. Les élèves ont appris à dire bonjour, merci et au revoir dans la langue mohawk. Ils ont été initiés aux multiples formes qu’il est possible de réaliser dans une danse du cerceau. Ils ont appris que les communautés autochtones d’aujourd’hui honorent leurs ancêtres tout en faisant un pont avec les temps modernes, en intégrant des mouvements traditionnels à la danse hip hop. Les élèves ont été sensibilisés à l’importance d’être reconnaissants envers la nature. Ils ont dansé au rythme de la musique, ce qui leur a permis de libérer leur énergie de manière thérapeutique. Ils ont également posé plusieurs questions à Leaf Maker, par clavardage. Les arts revêtent une importance particulière et essentielle afin d’aider les élèves à traverser cette période difficile et sans précédent. Les élèves tiennent à remercier la direction de l’école, ainsi que Leaf Maker, Nicolas Doyon des Services éducatifs et le programme « Culture à l’école » pour cette belle activité. Nia:wen - merci!


FORUM LOCAL DU FRANÇAIS POUR L’AVENIR : Du 8 au 12 mars prochain à Montréal, Le français pour l’avenir convie près de 300 élèves francophones et francophiles (de la 3e à la 5e année du secondaire) de la région à son Forum local virtuel. Ce rendez-vous annuel très attendu met la langue française à l’honneur, pour une semaine d’activités amusantes et d’apprentissage sur les avantages du bilinguisme au Canada. Les élèves de l’Académie Royal West à Montréal-Ouest et ceux de l’école secondaire Laurier Macdonald à Saint-Léonard prendront part à ce forum. À travers des activités interactives et éducatives, les élèves auront la possibilité de pratiquer leur français en dehors du cadre scolaire et de découvrir les occasions tant professionnelles que personnelles qu’offre le bilinguisme. C’est l’occasion rêvée pour les élèves de prendre conscience que le français est plus qu’une langue, c’est une culture remplie de diversité. Ensemble, les élèves  surmonteront leur appréhension à s’exprimer en français, en plus d’enrichir leur connaissance de cette langue. Le français pour l’avenir organise chaque année, depuis près de 20 ans, une quinzaine de Forums à travers le Canada. Mise sur pied avec le concours d’un comité organisateur local bénévole, chaque édition est unique et tient compte de la richesse et du rayonnement régional de la ville dans laquelle elle s’inscrit. Cette année, le Forum local virtuel de Montréal est organisé en collaboration avec le Commissariat aux langues officielles, Habilo Médias, Telus, le Centre d'éducation financière, le Taz Skatepark, Canadian Parents for French - Québec et Nunavut, ISaute et Expériences Canada. Pour de plus amples informations sur le Forum local virtuel ou sur les programmes du Français pour l’avenir, veuillez visiter le : www.francais-avenir.org.

INSPIRATIONS ET L’ÉCOLE OUVERTE : Parents Québec se veut un complément à la plateforme gouvernementale « École ouverte » lancée au printemps dernier. Outre sa vocation pédagogique, ce nouvel outil aide les parents à trouver les ressources adéquates, en fonction des besoins, de la région géographique et de l’âge de l’enfant. Qu’il s’agisse d’aider leur enfant ayant des besoins particuliers ou des difficultés en littératie, ou encore de trouver réponse à leurs questions en matière d’orientation, de droits de la personne, de santé mentale ou autre, les parents découvriront une foule de ressources fort utiles sur ce site convivial. « Cet outil très pertinent et utile comblera un vide ayant longtemps été source de frustration pour les parents qui, bien souvent, ne savent pas vers qui se tourner pour venir en aide à leurs enfants », de déclarer la présidente de l'EPCA, Katherine Korakakis. Le magazine Inspirations, parrainé par la CSEM et destiné à la population aux besoins particuliers, est présenté sur Parents Québec à titre de carrefour pour la communauté anglophone ayant des besoins particuliers. Hébergée sur le site Web d'Inspirations, la base de données de la CSEM regroupe plus de 500 ressources en matière de besoins particuliers dans le Grand Montréal et ses environs. Madame Korakakis dit consulter souvent cette base de données. « En tant que parent d’un enfant aux besoins particuliers, la vie est déjà assez accablante. Inspirations m'aide à trouver l’information dont j'ai besoin, au moment où j’en ai besoin. Ça me simplifie la vie », a-t-elle ajouté. 

 

JOURNÉE SPÉCIALE : Les écoles de la CSEM sont à planifier une Journée d’espoir – respect, service, commémoration et appréciation, qui se tiendra le 8 mars. Des élèves âgés de 4 à 21 ans participeront à cette célébration en direct et en ligne. Les organisateurs sont à la recherche d’élèves pour chanter, jouer d’un instrument de musique, danser, présenter un numéro de comédie, faire des tours de magie, raconter une histoire et réciter des poèmes ou faire une routine de gymnastique. Cette journée et cette célébration virtuelle permettront à la communauté scolaire de s’unir et de favoriser une santé mentale et des états d’esprit positifs. C’est une excellente façon pour les élèves de mettre en valeur leurs talents et de répandre de la joie et de l’espoir autour d’eux. Ce projet vise à rassembler la communauté de la CSEM en ces temps difficiles. C’est un moyen d’apporter de la joie et d’offrir une soirée de divertissement à plusieurs. Toutes les vidéos doivent être soumises à rsperanza@emsb.qc.ca, au plus tard le vendredi 12 février 2021, à 11 h 30. 


UNE ANCIENNE ENSEIGNANTE CENTENAIRE : Amy Mason, ex-enseignante à l’école primaire Willingdon à NDG célébrera ses 100 ans en mars. Elle est membre de l’église St. Angar située à proximité du campus principal.

 

ZOOTHÉRAPIE : Les élèves de l'école primaire Edward Murphy dans Hochelaga-Maisonneuve ont eu droit à des ateliers interactifs et éducatifs sur la zoothérapie/l’animation. Rocco Speranza, animateur de vie spirituelle et d’engagement communautaire, a fait équipe avec le personnel de l'école, l'administration et les animatrices en zoothérapie, Mme Audrey et Mme Ann Sophie, afin de présenter des ateliers interactifs. « Ces ateliers sont une façon efficace pour les élèves de s'engager, s'amuser et d’apprendre à prendre soin des animaux et d'eux-mêmes. Un lien particulier se crée avec les animaux et les élèves qui y participent. Dans le contexte actuel de la COVID-19, aller à l'école s’accompagne d’un certain niveau de stress cette année. La zoothérapie est un excellent moyen de remédier à cela et d'apaiser bien des élèves », de dire M. Speranza. Ces ateliers font désormais partie intégrante de la culture à l’école Edward Murphy et appuient son programme de persévérance scolaire. Ils aident les élèves à travailler sur les capacités d'attention conjointe, la mémoire, le développement du langage, les émotions, le travail d'équipe et la relaxation. Les deux grandes vedettes des deux ateliers présentés – un lapin doux, apaisant et affectueux de même qu’un chiot de six mois – ont fait sourire les élèves et les membres du personnel. Plusieurs d’entre eux ont affirmé que ces animaux doux et apaisants leur ont fait vivre une journée inoubliable.


SANTÉ MENTALE ET ADOLESCENTS : CJAD News a diffusé des reportages qui traitent de la santé mentale chez les adolescents et a interviewé Paola Borzone, conseillère d'orientation. Nous vous invitons à consulter ces liens.


https://soundcloud.com/englishmtl/cjad-report-on-teen-health-during-covid2 

https://soundcloud.com/englishmtl/cjad-report-on-teen-health-during-covid1 



  

SERVICE DE L’ÉDUCATION DES ADULTES ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE


MINI-MARCHÉ À WAGAR : La chaîne d’information CTV National News a elle aussi présenté tout récemment un reportage sur le remarquable programme de mini-marché offert au Centre d'éducation des adultes Wagar à Côte Saint-Luc.


https://www.ctvnews.ca/canada/a-win-win-life-changing-program-provides-job-skills-to-adults-with-autism-1.5289741  


Le prochain numéro de Pleins feux sur Fielding sera publié le 28 avril 2021. La date limite pour soumettre vos articles est fixée au jeudi 22 avril 2021 à midi. Prière de les acheminer à mcohen@emsb.qc.ca. 


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